samedi 12 juin 2010

Philippe II de Bourgogne dit Philippe le Hardi (1342 - 1404), est le fils du roi Jean II de France, dit Jean le Bon, et de Bonne de Luxembourg. Né à Pontoise le 17 janvier 1342, il fut duc de Bourgogne, comte de Flandre et d'Artois, comte palatin de Bourgogne, comte de Nevers, de Rethel, d'Étampes, de Gien, de Charolais, seigneur de Salins et de Malines. Longtemps appelé Philippe sans terre[2] parce qu'il était le dernier des quatre fils du roi Jean, il est fait duc de Touraine en 1360[3]. Il est nommé Philippe le Hardi par la bouche du roi d'Angleterre pour trois actes qu'il fait[4], le plus célèbre étant son valeureux comportement au côté de son père à la bataille de Poitiers en 1356. Son père lui donne le duché de Bourgogne en apanage en 1363. Il épouse à Gand en juin 1369[5] Marguerite III de Flandre, riche héritière présomptive des comtés de Flandre, d'Artois, de Rethel, de Nevers et du comté de Bourgogne et veuve[6] du précédent duc de Bourgogne Philippe Ier de Bourgogne décédé sans descendance à l'âge de 15 ans. La mort de son beau-père, Louis de Male, le rend maître des territoires apportés en dot par sa femme et fait de lui le plus puissant des « sires de fleurs de lys ». Tenant sous son autorité la Flandre, l'Artois et leurs appartenances, il rassemble sous son contrôle le duché de Bourgogne et le comté de Bourgogne lesquels vont, pendant une période d'un siècle, suivre à nouveau une destinée commune.

samedi 14 novembre 2009

Il y avait dans le quartier où je travaillais l'année dernière un petit bar qui servait de cantine à quelques jeunes messieurs employés de sociétés modernes, de marketing ou de web réseautages. Ils venaient parfois en avance ou seuls ou à plusieurs. Lorsqu'ils étaient en groupe leur attitude était si déplaisante que je résolus de m'en débarrasser une bonne fois pour toute.

Toujours présent sur les lieux, je pris l'habitude de tourner autour d'eux et surtout autour d'un leur chef ou disons le plus important d'entre eux. J'insistais, par exemple, pour lui prêter mon journal, sachant fort bien qu'il n'en avait que faire. Je lui proposais de changer de place pour une place plus confortable. Mon amabilité se fit de plus en plus insitante au fil du temps, jusqu'à ce que finalement il ne vienne plus, laissant le bar à sa vie paisible et à ses clients simples.

dimanche 1 novembre 2009

L'énigmatique sens interdit du quai de la Daurade!


Insolite. Énigmatique sens interdit.


Voilà un panneau qui en laissera plus d'un interdit. Repéré par l'œil averti de Jean-Christian, un photographe toulousain, ce sens interdit placé à hauteur d'enfant, entre les deux voies du quai de la Daurade, et les deux feux tricolores du pont Neuf, il désoriente l'automobiliste de passage.